vendredi 12 février 2010

L'intérieur du Jokkhang


L'ambiance suffocante et écoeurante dégagée par les lampes à beurre de yack; le sol glissant - le beurre fondu; les pélerins qui se poussent dans les nombreuses chapelles du circuit; la pénombre - car il n'y a pas de fenêtres; les moines qui comptent les billets qu'on dépose devant les statues; et l'apothéose, le jowo doré, cette statue du jeune Bouddha offerte par l'épouse chinoise du roi Songsten Gampo, au 7ème siècle - et pour laquelle fut bâti le Jokkhang. Pour les Tibétains, l'équivalent de La Mecque.

Une visite pénible - peut-être à cause des malaises d'altitude; et aussi, cette ferveur puissante et inconditionnelle me procure un autre malaise, dans l'esprit.

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